Dans un épisode troublant pour les commerces de Saint-Servan, à Saint-Malo, un homme de 29 ans a été arrêté après avoir commis plusieurs cambriolages. Les faits se sont déroulés en décembre 2025, lorsque cet individu a pénétré dans quatre établissements, tout en tentant d'en cambrioler un cinquième.
Les autorités ont pu l’identifier grâce à une trace d’ADN retrouvée sur les lieux de l'un de ses méfaits. Ce dernier a brisé une fenêtre pour accéder à un restaurant près du théâtre, dérobant une somme modeste de 20 euros ainsi qu’une bouteille d’alcool. Il a également tenté d'y mettre le feu, causant potentiellement un risque d'incendie, rapportent des sources locales.
Avant d'être interpellé le 22 décembre, cet homme, qui travaille dans le secteur de la cuisine, n’en était pas à son coup d’essai. Il est désormais en garde à vue, et son cas fait l'objet d'une enquête approfondie menée par la police de Saint-Malo. Les tests ADN, qui sont devenus un outil courant dans les enquêtes criminelles, ont une fois de plus prouvé leur efficacité.
Jean Dupont, criminologue, estime que cette affaire met en lumière l'importance des technologies modernes dans la lutte contre le crime. « Les preuves scientifiques, comme l'ADN, permettent de résoudre des affaires plus rapidement et de garantir que les coupables soient traduits en justice », a-t-il déclaré.
La sécurité dans les commerces de ce quartier suscitant de plus en plus d'inquiétude, les habitants et propriétaires d'établissements espèrent que cette arrestation aura un effet dissuasif. Des appels pour renforcer la sécurité publique se multiplient, révélant une préoccupation croissante face à des actes similaires.
Avec ces éléments, la lutte contre la délinquance à Saint-Malo semble prendre un nouveau tournant alors que les forces de l'ordre intensifient leurs efforts pour protéger la communauté.







