Le 23 décembre 2025, le tribunal administratif de Rennes a rendu une décision attendue concernant le dossier controversé de la vente des roches blanches, à Douarnenez. Ce recours en référé-suspension, initié par Jean Cathala, un figure politique locale, avait pour but de contester la délibération du Département, prise le 1er septembre 2025, qui autorisait la vente de ce site emblématique.
Cette décision de non-lieu, qui écarte les suspicions soulevées par le demandeur, a déjà déclenché de vives réactions au sein de la communauté douarneniste. Selon des experts en urbanisme, la vente des roches blanches a des implications environnementales que le Tribunal n'a pas abordées. Un expert en écologie de l'Université de Bretagne Occidentale a affirmé que "la préservation de ce site est essentielle pour maintenir la biodiversité locale, et sa vente pourrait avoir des conséquences définitives sur l'écosystème de la région".
Pour Jean Cathala, cette décision est un coup dur. Il avait exprimé ses préoccupations sur la manière dont la vente pourrait être gérée, jugeant que les intérêts économiques semblent l'emporter sur des enjeux sociaux et environnementaux critiques. Malgré le verdict du tribunal, Cathala continue de rappeler l'importance d'un débat public actif autour de ce dossier.
D'un autre côté, le Département, par la voix de son président, se montre confiant quant à la transparence et la légalité du processus qui a conduit à la vente. "Nous avons agi dans l'intérêt des douarnenistes et nous pensons que ce projet apportera des bénéfices durables à la ville," a-t-il déclaré.
Alors que la situation évolue, il est clair que les conséquences de cette décision iront au-delà du simple cadre juridique. À Douarnenez, l'inquiétude et l'intérêt pour l'avenir du site des roches blanches demeurent palpables.







