À l'approche des élections municipales de 2026 à Questembert, la politique locale est animée par des critiques sur le premier mandat de Boris Lemaire. Marie-Christine Danilo, membre d’un groupe d’opposition divers droite, affirme avoir collaboré avec la majorité de manière constructive. Elle souligne que son équipe a été proactive, mais reste silencieuse sur de possibles candidatures pour la prochaine campagne.
En revanche, Frédéric Poeydemenge, ancien membre de Debout la France, ne se prive pas de critiquer l'administration Lemaire. Il évoque des griefs concernant le traitement de son groupe, l'absence de construction d'une salle des fêtes, et les controverses autour du choix des emplacements du cimetière et de la suppression de l’étang de Célac. Selon lui, ces décisions reflètent une gestion défaillante des priorités de la commune.
Les enjeux s’intensifient à l’approche des élections, avec des interrogations sur la capacité de Lemaire à convaincre. Selon une enquête récente de Ouest-France, une partie significative des habitants de Questembert reste indécise quant à leur vote, ce qui pourrait jouer en faveur des candidats d'opposition.
Des experts en politique locale soulignent que le bilan d'un maire se mesure non seulement à ses réalisations, mais aussi à sa capacité à maintenir l’adhésion des électeurs. Cela pourrait constituer un facteur déterminant lors des prochaines élections. Ouest-France note que les attentes des électeurs évoluent, et que la transparence dans la gestion locale est plus que jamais primordiale.







