En août 2025, la tranquillité d'un magasin Kiabi à Saint-Gilles-Croix-de-Vie a été perturbée par un événement choquant. Un homme de 24 ans a été surpris en train de filmer des jeunes filles dans les cabines d'essayage, engendrant un trauma pour les victimes.
Les faits se sont produits alors qu'une adolescente et une jeune femme se changaient. Le compagnon de la première a remarqué une lumière suspecte au-dessus de la cabine, alertant ainsi les autres clients. Rapidement, l'homme a été dénoncé et interpellé par les autorités.
Le tribunal des Sables-d'Olonne a rendu son verdict le 11 décembre, condamnant le prévenu pour violation de la vie privée. Un témoignage poignant d'une des victimes illustre les séquelles psychologiques de cet incident : "Depuis, je n'ai plus osé me changer dans un lieu public, et j'ai dû consulter un psychologue". Cette expérience démontre les effets dévastateurs du voyeurisme, un acte qui va au-delà de l'infraction pénale, touchant profondément la dignité des individus concernés.
Cette affaire a également suscité des réactions au sein de la communauté, où de nombreux citoyens expriment leur indignation face à de tels comportements. Des experts en psychologie soulignent l'importance de sensibiliser le public aux conséquences du voyeurisme et la nécessité de renforcer les lois pour protéger les victimes. Comme l’a déclaré un psychologue local, "la vigilance est cruciale pour empêcher ce type d'infraction, et il est essentiel de soutenir les victimes dans leur processus de guérison".
La société doit s'interroger sur la sécurité dans les espaces publics et les mesures à采取 pour rendre ces lieux plus sûrs. En parallèle, des initiatives sont mises en place dans divers magasins pour sensibiliser le personnel à la protection des clients.







