Le 30 décembre 2025, la France a officiellement promulgué la loi visant à reconnaître le préjudice des femmes condamnées pour avortement avant sa légalisation en 1975. Cette initiative, qui a été adoptée par le Parlement le 18 décembre 2025, marque une étape importante dans la lutte pour les droits des femmes.
Avant cette législation, des milliers de femmes avaient été poursuivies et condamnées en vertu de lois restrictives. Aujourd'hui, cette nouvelle loi cherche à leur rendre honneur et à rétablir leur dignité. Comme l’affirme le ministre des Droits des femmes, “cette loi n’est pas seulement un acte symbolique, mais un acte de réconciliation avec notre histoire.”
Selon les travaux d'experts en droit, cette mesure reconnaît le préjudice moral et matériel subi par ces femmes. En effet, des études récentes montrent que ces condamnations ont eu des conséquences durables sur leur santé mentale et leur situation sociale. La chercheuse en sociologie des genres, Dr. Claire Lefebvre, souligne que “cette loi pose enfin les jalons d’une véritable reconnaissance des droits des femmes et ouvre la voie à davantage de progrès.”
Les organisations de défense des droits des femmes ont exprimé leur satisfaction : “C’est un pas historique vers l’égalité et la justice sociale,” a déclaré un porte-parole de l'association. De nombreuses femmes qui ont vécu ces expériences douloureuses se sentent enfin entendues et reconnues.
En guise de conclusion, la promulgation de cette loi témoigne d’un changement dans la perception des droits reproductifs en France, reflet de l'évolution des mentalités et des luttes féministes à travers les décennies. La France semble ainsi prête à tourner la page d’une période sombre de son histoire.







