Un homme de 35 ans a trouvé la mort lors d'une croisière opérée par Royal Caribbean en décembre 2024, provoquant une onde de choc et une réaction immédiate de la part de sa famille, qui a décidé de saisir la justice. L'armateur est accusé d'avoir servi à la victime pas moins de 33 verres d'alcool en quelques heures, malgré un état d'ébriété flagrant. Ce tragique incident s'est produit alors que la famille prenait un itinéraire de Los Angeles vers le Mexique.
Selon CBS News, l'homme se serait égaré après avoir quitté un bar et aurait agi de manière très agitée, tentant par exemple de forcer une porte. En réponse, deux agents de sécurité ont tenté de le maîtriser de manière musclée, provoquant un flot de controverses concernant la gestion de la situation. Des rapports indiquent qu'il a également été soumis à un spray au poivre et à de l'halopéridol, un anti-psychotique, suite à des ordres du capitaine.
Celui-ci était finalement en détresse lorsqu'il est décédé alors qu'il était pris en charge par le personnel du bateau. Les experts dans le domaine du droit notent que la réaction tardive et potentiellement inadéquate du personnel pourrait jouer un rôle crucial dans le cadre de cette affaire. Les avocats de la famille soulignent la responsabilité de l'armateur, en vertu du programme de « boissons à volonté », qui aurait pu être suspendu en raison de l’état de l’individu.
Les critiques se sont multipliées autour de cette tragédie, notamment en ce qui concerne le manque apparent de formation du personnel dans la gestion des situations d’ébriété. Cela soulève des questions sur la sécurité des passagers et la responsabilité des compagnies de croisière. Un porte-parole de Royal Caribbean a déclaré : « Nous avons coopéré pleinement avec les autorités dans le cadre de leur enquête et nous ne ferons pas d'autres commentaires pour le moment. »
À travers cette tragédie, le débat sur la consommation d'alcool à bord des croisières et sur les démarches à entreprendre pour garantir la sécurité des passagers se retrouve au coeur des discussions. Des sources supplémentaires, telles que TMZ, soutiennent que des enquêtes criminelles pourraient être envisagées suite à la qualification de l'affaire comme un homicide. Les avocats de la famille continuent de défendre leur position, plaidant pour une justice appropriée afin de prévenir de tels incidents à l'avenir.







